Écrivaine, peintre et linograveuse

L’aventure artistique de Mélila Victoria débute, sans qu’elle ne s’en aperçoive, le jour où elle a utilisé un crayon pour la première fois. Depuis, la passion ne l’a plus quittée.

Elle s’est développée aux côtés de son père, lui-même écrivain et dessinateur de coeur. Il lui a appris les bases du dessin, lui a donné le goût de la poésie et des phrases bien faites. Il lui a appris à marcher. Depuis, elle cherche à s’envoler.

Elle fait partie de ces personnes qui écrivent et dessinent tout le temps. Elle a toujours une histoire en tête, une idée de dessin, un jeu de mots qui lui vient. Diplômée en communication et lettres anglaises, elle a souvent prêté sa plume afin de relier les uns et les autres.

Des mots pour éclairer son chemin

Ses textes prennent souvent la forme de récits introspectifs et philosophiques. Elle aime leur ajouter une dimension poétique, magique, mystérieuse. Puisant la résilience de ses récits dans son passé, elle écrit toujours ses histoires dans le but d’inspirer les autres à se relever et à se révéler.

Les auteur.rice.s qui l’inspirent : Pierre Bottero, Christelle Dabos, David Safier, Tracy Chevalier, Roald Dahl.

Des couleurs pour raconter l’invisible

Son style graphique est joyeux et coloré. Ses influences viennent du symbolisme, du fauvisme et de l’art naïf. Ses sujets de prédilection sont les portraits poétiques ainsi que la personnification de la nature et de concepts.

Les artistes qui l’inspirent : Niki de St Phalle, Henri Rivière, Hergé, Edmund Blair Leighton, Eyvind Earle, Mary Blair, Milt Kahl, Wes Anderson, Valerie Lin et Limistic.